pastel papier canson 40/60
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comme je n'ai pas beaucoup de temps à moi pour faire un véritable dessin (présomptueuse que je suis...mdr,mdr..),je fais des esquisses entre les soins de kiné et le centre anti-douleur de marseille.
il y a de quoi mettre des coms et rectifications car il y en a pour surrrr...j'en vois partout lol,lol
bisouss et à vos remarques que j'attends avec impatience et plaisir
9 commentaires -
Il est des poèmes dont je me lasse pas, celui-là en fait partie,il a été écrit par la poétesse brésilienne Martha MEDEIROS.Une petite piqure de rappel, juste pour le plaisir de lire des mots qui parlent à notre âme comme des évidences, mais qu'hélas nous oublions trop souvent de mettre en pratique....
Il meurt lentement
Celui qui ne voyage pas,
Celui qui ne lit pas,
Celui qui n'écoute pas de musique,
Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
Celui qui détruit son amour-propre,
Celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
Celui qui devient esclave de l'habitude
Refaisant tous les jours les mêmes chemins,
Celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
De ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement
Celui qui évite la passion
Et son tourbillon d'émotions
Celles qui redonnent la lumière dans les yeux
Et réparent les cœurs blessés.
Il meurt lentement
Celui qui ne change pas de cap
Lorsqu'il est malheureux
Au travail ou en amour,
Celui qui ne prend pas de risques
Pour réaliser ses rêves,
Celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
N'a fui les conseils sensés.
Vis maintenant
Risque-toi aujourd'hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d'être heureux !MARTHA MEDEIROS
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A mes amis sexagénaires, septuagénaires.....
A tous les jeunes qu’on a connu... avant
et qui sont des vieillards... maintenant !
A toutes ses filles jadis coquettes
maintenant en maison d’retraite,
pour nous souvenir, prenons un instant
tant qu’il est vraiment encore temps !
A tous ces garçons, hier, charmants
et qui, aujourd’hui, sont grisonnants,
A toutes ces filles en mini-jupettes
ridées désormais comme des fruits blets,
J’envoie ce message important
pour nous moquer un peu de nos tourments.
On vieillit, on vieillit,
on est de plus en plus raplati, raplati.
On a la mémoire comme une passette
on a du mal pour mettre nos chaussettes.
On est tout rabougri, déjà amorti,
On oublie même parfois ses anciens amis.
A tous mes virtuels correspondants
qui sont chaque jour devant leur écran
A tous mes amis qui, par internet,
m’envoient souvent des “blagounettes”,
Je souhaite qu’encore longtemps
nos échanges soient récurrents.
Amitiés à tous
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